Espèce naturalisée
Espèce introduite rencontrant des conditions écologiques favorables à son implantation durable dans le temps pouvant y établir des populations de façon autonome et intégrée à l'écosystème.
Espèce introduite rencontrant des conditions écologiques favorables à son implantation durable dans le temps pouvant y établir des populations de façon autonome et intégrée à l'écosystème.
Superposition de la trame verte et bleue.
La trame turquoise correspond aux espaces où la trame verte et la trame bleue interagissent très fortement. Elle constitue un corridor écologique propice à la circulation des espèces.
Animal visible à l’oeil nu (c’est à dire de taille supérieure à 0.5 mm) qui ne possède pas de squelette, d’os ou de cartilage.
Insecte à métamorphoses incomplètes, à larve aquatique, tel que les libellules et les demoiselles.
Ordre d'Insectes hémimétaboles, terrestres à l'état adulte, aquatiques à l'état larvaire, connus sous le nom de Libellules ou Demoiselles, et dont les adultes sont caractérisés par une tête large et mobile, portant des yeux composés très développés, des antennes très courtes et filiformes, un appareil buccal de type broyeur, par des pattes petites et faibles servant surtout à la préhension des proies, par des ailes très grandes, membraneuses, hyalines ou colorées, présentant un réseau serré de petites nervures et qui, au repos, sont maintenues verticales ou obliques en arrière (Zygoptères) ou disposées plus ou moins horizontalement (Anisoptères)
Méthode de pêche scientifique des poissons - au moyen d'un courant électrique - qui vise à déterminer les peuplements piscicoles des cours d'eau. La méthode consiste à générer un courant électrique, qui attire les poissons : paralysés par le champ magnétique, ils remontent à la surface, ce qui permet de les dénombrer. La paralysie n'est cependant que momentanée : une fois les analyses effectuées, les poissons rejoignent le cours d'eau. L'usage de cette méthode est strictement interdit dans le cadre de la pêche récréative ou professionnelle.
Moyen efficace pour dénombrer les espèces aquatiques. Sur un tronçon défini à l’avance, les équipes de pêche remontent le cours d’eau, munis d’électrodes pour étourdir les poissons et d’une épuisette pour les capturer. Cette méthode doit obéir à un protocole normalisé afin que les données soient comparables d’une année sur l’autre. Les poissons sont ensuite transférés à l’atelier de biométrie pour être comptés et regroupés par espèces. Ils sont également mesurés et pesés.Ces données permettent de déterminer précisément l’état des populations de poissons dans la rivière et sont utiles pour évaluer l’état écologique du cours d’eau, suivre l’efficacité des actions de gestion ou orienter les politiques piscicoles.
Déplacement du carbone, sous ses diverses formes, entre les réservoirs naturels de la planète.
Circulation et stockage du carbone, sous ses diverses formes, entre la surface et l'intérieur de la Terre, l'atmosphère et la biosphère. Les principaux mécanismes de l'échange de carbone sont la photosynthèse, la respiration et l'oxydation. Un transfert a lieu entre les organismes vivants, l'atmosphère, la terre et l'eau.
Mammifère aquatique possédant des nageoires antérieures et une nageoire caudale - la queue - horizontale. Par exemple, les baleines, les cachalots et les dauphins sont des cétacés.
Volume d'eau compris entre le fond et la surface d'une mer, d'un océan, d'une rivière ou d'un lac.
Concept utilisé en écologie des milieux aquatiques et marins pour décrire les caractéristiques physiques (température, salinité, pénétration de la lumière) et chimiques (pH, teneur en oxygène dissous, sels nutritifs, métaux traces...) de l'eau de mer, à différentes profondeurs, pour un point géographique donné. La colonne d'eau s'étend de la surface de l'eau jusqu'au fond des cours d'eau, des plans d'eau ou des océans.
Ensemble d'animaux vertébrés aquatiques qui ont la particularité d'être vivipares : la femelle laisse grossir dans son ventre le ou les petits qui en sortiront vivants. Les différents mammifères marins qui peuplent les océans (les cétacés), ainsi que diverses espèces d'eau douce, comme la loutre européenne, sont des mammifères aquatiques. Leur mode de fonctionnement dépend de l'écosystème aquatique dans lequel ils évoluent.
Animal invertébré articulé qui a la particularité de respirer par des trachées. Certains insectes sont devenus aquatiques (ils représentent 3 % des insectes) mais ont conservé cette respiration aérienne.