Zone de rétention de crue
Zone de stockage permettant de réguler le débit des crues pour éviter les inondations.
Zone de stockage permettant de réguler le débit des crues pour éviter les inondations.
Zone inondable naturelle ou agricole (non actuellement urbanisée), pouvant être élargie aux crues d'occurrence supérieure à la crue centennale, dans le cadre d'une approche hydrogéomorphologique. Lorsque les enjeux locaux le nécessitent (niveau d'aléa, importance des zones considérées, etc.), des zones inondables qui, à la date d'approbation du Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE), sont classées « à urbaniser » mais ne sont pas encore très urbanisées, peuvent être considérées, pour leur partie non encore urbanisée, comme étant des zones à vocation d'expansion de crue.
Service chargé de prévoir les situations dangereuses provoquées par de fortes inondations, en partenariat avec Météo-France. Le Service de prévision des crues (SPC) avertit le Préfet en cas d'alerte et élabore l'information à diffuser à l'attention des maires. Le Service de protection civile de la préfecture est à son tour chargé d'alerter les maires par un moyen adapté et de…
Marque matérialisant les crues historiques d'un cours d'eau. Témoins des grandes crues passées, les repères de crue permettent de faire vivre la mémoire des inondations que le temps ou les traumatismes peuvent parfois effacer. Ils se présentent sous différentes formes (trait ou inscription gravée dans la pierre, plaque métallique ou un macaron scellé, etc .) et on les trouve sur différents types de bâtiments …
Submersion lente ou rapide d'installations ou habitations, liée au débordement des eaux souterraines ou superficielles, lors d'une crue ou d'un ruissellement consécutif à des évènements pluvieux.
Submersion temporaire par l’eau, de terres qui ne sont pas submergées en temps normal. Cette notion recouvre les inondations dues aux crues des rivières, des torrents de montagne et des cours d’eau intermittents méditerranéens aux remontées de nappe, aux ruissellements urbains et agricoles ainsi que les submersions marines au-delà des limites du rivage de la mer. En milieu estuarien, les inondations peuvent avoir plusieurs causes : débordement d’un cours d’eau, submersion marine, remontée de nappe... Cette submersion temporaire peut exclure les inondations dues aux réseaux d’égouts.
Les causes sont liées à des circonstances météorologiques particulières, comme les cyclones ou les orages violents ou récurrentes comme la mousson (au niveau mondial). Elles peuvent également être dues à l’effet simultané de plusieurs phénomènes : c’est souvent le cas des submersions marines provoquées par la combinaison d’une forte houle, de coefficients de marée élevés et parfois même d’une onde de tempête et d’une crue estuarienne. Toutefois l'activité humaine peut aggraver le…
Action visant à diminuer le débit maximum de la rivière pendant une crue. Certains barrages sont spécifiquement conçus à cet effet.
Action consistant à limiter le débit de pointe d'une crue, soit par stockage dans un ouvrage spécifique, soit par extension des zones d'expansion des crues.
Cartographie de l'étendue inondée par une crue importante qui permet de garder la mémoire des crues les plus importantes.
Cartographie de l'étendue qui serait inondée par des crues modélisées de fréquence déterminée (décennale à centennale) ou détermination, par une méthode hydrogéomorphologique, des unités spatiales homogènes modelées par les différents types de crues. Les Atlas de zones inondables représentent donc les zones potentiellement inondables ayant ou non été inondées par une crue connue.