Marée descendante
Partie du cycle de la marée comprise entre la pleine mer et la basse mer suivante, opposé à la marée montante. On parle aussi de « jusant », « reflux » ou « perdant ».
Partie du cycle de la marée comprise entre la pleine mer et la basse mer suivante, opposé à la marée montante. On parle aussi de « jusant », « reflux » ou « perdant ».
Marée de faible marnage se produisant lorsque la lune est proche du premier et du dernier quartier. On parle aussi de « mortes eaux ».
Espace littoral aménagé pour la production du sel marin par évaporation naturelle.
Région côtière, plate et humide, insuffisamment drainée et souvent inondée en pleine mers. On le rencontre dans les embouchures, au fond des baies et en arrière des cordons littoraux.
Zone forestière amphibie composée essentiellement de palétuviers, qu'on trouve sur les sédiments vaseux des littoraux tropicaux.
Désigne, le long des frontières d'un état maritime, la ligne brisée définie par le Gouvernement, joignant entre elles les terres émergées les plus avancées. C'est à partir de cette ligne que sont tracées les limites des eaux territoriales (6 milles), de la zone de pêche exclusive (12 milles) et de la Zone économique exclusive - ZEE (200 milles).
En océanographie et droit maritime, la ligne de base est la limite qui définit les eaux intérieures d'un Etat, sur lesquelles celui-ci possède tous les droits. C'est à partir de cette ligne que sont établies les autres zones maritimes.
La ligne de base correspond à la laisse de basse mer, c’est-à-dire la limite atteinte par la mer à marée basse. Elle suit la direction générale de la côte. Cependant, lorsque que la côte est très découpée ou qu’il y a des îles proches, on « simplifie » le trait de côte en ne tenant pas compte de ses sinuosités.
Partie de la mer sur laquelle on ne dispose plus de repères à terre.