Zooplancton
Plancton animal. Il se nourrit directement ou indirectement de phytoplancton.
Plancton animal. Il se nourrit directement ou indirectement de phytoplancton.
Se dit d'un taxon lorsque les meilleures données disponibles indiquent qu'il est confronté à un risque "très élevé" d'extinction à l'état sauvage.
Espèce vivante qui, par sa présence ou son absence, son abondance ou sa rareté, permet d'apprécier le degré de pollution de l'eau ou de l'air. (les lichens pour l'atmosphère, les salmonidés pour les cours d'eau sont d'excellents bio-indicateurs.)
Espèce ou un groupe d'espèces végétales ou animales dont les caractéristiques observées (occurrence, abondance, biomasse, traits biologiques, etc.) fournissent une indication sur le niveau de dégradation du milieu. Un bioindicateur fait donc l’objet de mesures permettant d’indiquer la présence ou les effets des polluants et permet donc d’évaluer la qualité de l’environnement dans lequel il est prélevé. Il peut être considéré comme complémentaire (notamment pour la répartition spatiale de la pollution, la caractérisation des synergies, la pollution graduelle...) des réseaux de mesures physicochimiques.
Appréciation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes aquatiques associés aux eaux de surface. Il s'appuie sur ces critères appelés éléments de qualité qui peuvent être de nature biologique (présence d'êtres vivants végétaux et animaux), hydromorphologique ou physico-chimique. L'état écologique comporte cinq classes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Pour chaque type de masse d'eau, il se caractérise par un écart aux conditions de références (conditions représentatives d'une eau de surface pas ou très peu influencée par l'activité humaine). Le « très bon » état écologique est défini par de très faibles écarts dus à l'activité humaine par rapport aux conditions de référence du type de masse d'eau considéré. Le « bon » état écologique est défini par de faibles…
Vertébré aquatique qui respire par des branchies et dont les membres pairs sont représentés par des nageoires (pectorales et pelviennes). Les poissons sont généralement ovipares. Les poissons vivent aussi bien dans l'eau douce (cours d'eau, plan d'eau, étang, lac...) ou salée (estuaire, littoral, mer et océan).
Action de remonter un cours d'eau pour un poisson migrateur pour rejoindre son lieu de reproduction ou de développement.
Milieu défini par des facteurs abiotiques et biotiques spécifiques où vit une espèce à l'un des stades de son cycle biologique. Un habitat naturel se distingue par des caractéristiques géographiques, abiotiques et biotiques entièrement naturelles ou semi-naturelles.
Action pour un poisson migrateur de descendre un cours d'eau pour retourner dans son lieu de reproduction ou de développement.
Correspond au continuum ou à la continuité écologique constitué par un cours d'eau, ses annexes et ses affluents, considéré des sources jusqu'à la mer. Ce réseau ainsi constitué permet le déplacement des
Espace naturel (terrestre, aquatique ou aérien) assurant la connexion entre les milieux d'intérêt écologique, garantissant ainsi le déplacement, la dispersion des espèces et leur permettant d'exploiter au mieux ces milieux en fonction de leur besoin et de stabiliser leur population. Le Grenelle de l'environnement demande de stopper la perte de biodiversité notamment en mettant en place un réseau de corridors écologiques dénommée « trame verte et bleue ».