Fuite d'eau
Ecoulement d'eau involontaire depuis une canalisation, par une fente étroite ou cachée.
Ecoulement d'eau involontaire depuis une canalisation, par une fente étroite ou cachée.
Procédé consistant à faire passer l'eau à travers un lit de matériau filtrant afin d'en améliorer sa qualité.
Action permettant d'éliminer d'un fluide des particules solides en suspension (en fonction de leur granulométrie). La filtration, gravitaire ou sous pression, peut s'effectuer à travers une paroi poreuse (tamis, membrane) ou à travers un matériau granulaire (sable, anthracite, graviers et autres matériaux utilisés dans la biofiltration). Selon la taille des particules retenues ou des pores du dispositif, on distingue le tamisage (0,15-2,5 mm), le micro-tamisage (25-150 µm), la microfiltration (1-100 µm), l'ultrafiltration (1 - 0,1 µm) ou la nanofiltration (10 - 100 nm).
Suite organisée de procédés pour le traitement des eaux destinées à la consommation humaine.
Ouvrage comportant un réservoir surélevé de grande capacité utilisé pour stocker l'eau potable, puis la distribuer par gravité.
Technique visant à éliminer les minéraux à l'origine de la dureté de l'eau, en particulier le calcium et le magnésium.
Technique consistant à échanger les ions calcium et magnésium, peu solubles et qui réagiraient avec les carbonates de l'eau pour former du calcaire, contre les ions sodium qui sont parfaitement solubles dans l'eau. Cette opération est nommée "échange ionique".
Échangeur servant à récupérer partiellement l'énergie thermique des eaux usées.
Espace aménagé entre la station de traitement des eaux usées et le milieu récepteur des rejets des eaux usées traitées (il ne fait pas partie de la station de traitement des eaux usées). Les zones de rejet végétalisées (ZRV) se caractérisent par l'utilisation des végétaux (le plus souvent aquatiques mais éventuellement aussi terrestres) et leur implantation, à proximité de la station d'épuration, dans l'espace restant disponible après la construction de cette dernière. La ZRV n'est pas une zone humide dans la mesure où il n'y a pas de « présence prolongée d'eau d…
Loi apportant les modifications nécessaires au cadre législatif pour appliquer les nombreuses directives européennes définissent des normes de qualité auxquelles doivent satisfaire les eaux pour certains usages (eau potable, eaux de baignade, eaux piscicoles, eaux conchylicoles). Elle reconnaît la ressource en eau comme "patrimoine commun de la Nation". Elle introduit la notion d’unité de la ressource en matière de gestion. Les mesures de protection s’appliquent en effet "aux eaux superficielles et souterraines, et aux eaux de mer dans la limite des eaux territoriales ".
Un des points forts de la loi du 3 janvier 1992 est l'instauration des deux nouveaux systèmes de planification globale de la ressource en eau : les schémas directeurs d'aménagement et de gestion des eaux (
Dispositif mis en place dans le cadre d'une politique globale de reconquête de la qualité de la ressource en eau sur une aire d'alimentation de captage, venant en complément du dispositif des périmètres de protection afin de lutter contre les pollutions diffuses (nitrates et/ou pesticides).
Somme d'argent payée par tous les habitants d'une commune en fonction de leur consommation d'eau. Les actions individuelles de chaque habitant pour réduire sa propre consommation (chasse au gaspillage, lutte contre les fuites...) permettent d'agir directement sur les montants versés.