Habilitation
L'habilitation consiste à autoriser la consolidation, l'identification et la qualification des DEE et métadonnées pouvant alimenter la plate-forme nationale.
L'habilitation consiste à autoriser la consolidation, l'identification et la qualification des DEE et métadonnées pouvant alimenter la plate-forme nationale.
Selon la circulaire n° 12/DE du 28 avril 2008 - Annexe IV, personne domiciliée de manière permanente ou temporaire sur le territoire d’une collectivité dans une zone où elle est soit raccordée soit raccordable aux installations du service public d’eau ou d’assainissement collectif, soit non raccordée avec dérogation. Dans le cas de l’assainissement non collectif, il s’agit d’une personne domiciliée sur une zone délimitée comme étant une zone couverte par un service d’assainissement non collectif.
Milieu défini par des facteurs abiotiques et biotiques spécifiques où vit une espèce à l'un des stades de son cycle biologique. Un habitat naturel se distingue par des caractéristiques géographiques, abiotiques et biotiques entièrement naturelles ou semi-naturelles.
Par habitat on entend un ensemble indissociable avec : - une faune, avec des espèces ayant tout ou partie de leurs diverses activités vitales sur l’espace considéré ; - une végétation (herbacée, arbustive et arborescente) ; - un compartiment stationnel (conditions climatiques, sols et matériau parental et leurs propriétés physico-chimiques). Un habitat ne se réduit pas à la seule végétation. Mais celle-ci, par son caractère intégrateur (synthétisant les conditions de milieu et de fonctionnement du système) est considérée comme un bon indicateur et permet de déterminer l’habitat. (source : Rameau et al., 1998).
Habitat en danger ou ayant une aire de répartition réduite ou constituant un exemple remarquable de caractéristiques propres à une ou plusieurs des régions biogéographiques, énumérés à l'annexe 1 de la directive "habitats, faune, flore" et pour lesquels doivent être désignées des zones spéciales de conservation (ZSC).
Qualifie les activités relatives à la pêche sous toutes ses formes, professionnelle ou de loisirs, en eau douce ou marine.
Ecoulement ou niveau d'eau relativement important, et également le plus élevé de l'année, tel qu'il est mesuré par la hauteur d'eau ou le débit. Durant une période de hautes eaux, le cours d'eau occupe son lit majeur.
Se dit d'une plante semi-aquatique dont les feuilles et les fleurs sont émergées au moins en partie. La plante hélophyte pousse sur les rives ou le fond des milieux aquatiques, lorsque la hauteur d'eau est suffisamment faible et que le fond et le faible courant permettent la fixation des racines. Par exemple, le roseau commun est une espèce hélophyte.
Un produit phytopharmaceutique ou produit phytosanitaire. Un produit chimique utilisé pour détruire des végétaux. Il est dit sélectif s'il détruit seulement un type de végétal et total s'il détruit toutes sortes de végétaux.Il fait partie de la famille des pesticides.
Oscillation périodique du niveau de la mer. La houle se manifeste de façon épisodique, en fonction des inégalités de pression et de la friction du vent que ces différences de pression génèrent. Elle est formée par le vent loin de la zone d'observation, et est une oscillation de profil sensiblement sinusoïdal, donc très régulière, et qui se propage sur de longues distances, contrairement aux
Matière noirâtre composée de matière organique issue de la décomposition partielle des débris végétaux, qui se forme dans le sol. L'évolution de l'humus dépend pour beaucoup de l'oxygénation du milieu. En milieu oxygéné, il peut donner des boues (plus ou moins dépendantes du sol sous-jacent, de son pH, et de la nature des feuillages qui le nourrissent) ; en milieu non oxygéné, il peut donner des tourbes plus ou moins acides et anoxiques.
Branche de la mécanique des fluides qui traite de l'écoulement de l'eau (ou d'autres liquides) dans des conduites, canaux découverts et autres ouvrages.
Branche de l'hydraulique ayant pour objet l'étude de l'écoulement des crues et la protection contre les inondations. Elle intervient dans l'étude des canaux de navigation, le calibrage des rivières pour la protection des berges, le maintien d'un chenal navigable ainsi que l'aménagement et la construction d'ouvrages hydraulique, comme les digues, les seuils.
Branche de l'hydraulique relative au milieu marin et côtier, qui s'intéresse aux houles, aux courants, à la dispersion et la qualité des eaux, la sédimentologie, la navigabilité et la tenue des navires à poste, ou encore l'interaction houles - structures.
Branche de l'hydraulique qui étudie l'écoulement gravitaire naturel (d'une nappe) ou provoqué (par drainage ou pompage, par exemple) de l'eau souterraine libre dans les milieux perméables, sous l'effet d'un gradient de charge ou de
Branche de l'hydraulique relative aux écoulements dans les zones à fortes pentes.
Science qui étudie la vie des organismes aquatiques.
Branche de la mécanique des fluides qui concerne les mouvements des fluides, qu'ils soient liquides ou gazeux. L'hydrodynamique s'intéresse aux propriétés des fluides, notamment la vitesse, la viscosité, la densité, la pression et la température, en fonction de l'espace et du temps.
Elle correspond à l’hydroélectricité totale dont on retire l’hydroélectricité issue des pompages, réalisés par l’intermédiaire des stations de transfert d’énergie par pompage (Step). Ces installations permettent de remonter, aux heures de faible demande électrique, l’eau d’un bassin inférieur vers une retenue située en amont d’une centrale hydroélectrique. Les Step sont dites pures, lorsque la centrale hydraulique est exclusivement dédiée à cette activité de pompage, ou mixtes dans le cas contraire. Pour les données relatives aux nombre et puissance des centrales hydrauliques renouvelables, seules sont exclues les Step pures. Pour la production, toute l’hydroélectricité produite par pompage dans les Step pures ou mixtes est retirée. L’hydroélectricité issue des pompages est dite non renouvelable.
Sel présent dans les eaux d’origine calcaire et qui est une des causes de leur dureté.
De formule chimique : Ca(HCO3)2
Sel instable en solution aqueuse, qui tend à se décomposer en CaCO3 (carbonate de calcium) et H2CO3 (acide carbonique). La chaleur accélère cette transformation qui conduit au dépôt de calcaire (tartre) sur les parois des récipients ou des conduites contenant de l’eau bicarbonatée, et au dégagement de gaz carbonique.
Science des eaux souterraines, comprise dans les sciences de la Terre. L'hydrogéologie réunit la connaissance des conditions géologiques et hydrologiques et des lois physiques qui régissent l'origine, la présence, les mouvements et les propriétés des eaux souterraines, ainsi que les applications de ces connaissances aux actions humaines sur les eaux souterraines, notamment à leur prospection, à leur captage et à leur protection.
Partie de la géographie physique qui traite des océans, des mers, des lacs et des cours d'eau. L'hydrographie désigne également l'ensemble des cours d'eau et lacs d'un territoire.
Turbine immergée qui utilise l'énergie des courants marins, et parfois fluviaux, pour produire de l'électricité.
Etude des propriétés physiques, chimiques et biologiques des eaux situées à la surface de la Terre et au-dessous de cette surface, en particulier du point de vue de leur formation, de leur déplacement, de leur répartition dans le temps et l'espace et de leur interaction avec l'environnement inerte et vivant. L'hydrologie continentale étudie les cours d'eau, plans d'eau et milieux humides, les eaux souterraines et les étendues d'eau solide des terres émergées, tandis que l'hydrologie marine s'identifie à l'océanographie.
Science qui a pour objet de mesurer les propriétés physiques de l'eau, et spécialement le débit des eaux superficielles et souterraines.
L’hydrométrie : de « hydro » qui se rapporte à l’eau et « métrie » qui se rapporte à la mesure. En pratique, les techniciens et ingénieurs francophones ont réservé le terme « Hydrométrie » à la discipline qui s’attache à mesurer la hauteur et le débit des écoulements des rivières.
Mesure de l’eau ; mesure des écoulements des rivières et fleuves (aspect quantité d’eau et non pas qualité).
Si l’eau est stagnante : la mesure de hauteur d’eau donne le stock disponible (fonctionne très bien sur une nappe ou un barrage).
Si l’eau s’écoule, la hauteur d’eau ne suffit plus : c’est la quantité d’eau qui passe (le débit) qui compte. Selon l’aménagement de la rivière pour un même débit la hauteur d’eau peut changer.
Qui montre une forte affinité pour l’eau. Qui attire, se dissout dans l’eau ou l’absorbe.
Qui montre une forte répulsion pour l’eau, qui repousse l’eau.
Se dit d'une plante aquatique dont les feuilles et les fleurs sont immergées. La plante hydrophyte pousse fixée sur le fond des milieux aquatiques ou flottant librement dans les zones de faible courant. Par exemple, le cresson de ruisseau, les nénuphars ou les lentilles d'eau sont des plantes hydrophytes.
Ensemble des eaux de la planète, comprenant aussi bien les océans, les mers, les lacs et les cours d'eau que les eaux souterraines et les glaces.
Branche de la météorologie qui a pour objet de déterminer le degré d'humidité de l'air.
Corps contenant le radical CIO-, les hypochlorites peuvent remplacer le chlore dans ses applications en désinfection des eaux. Deux formes sont utilisées après dilution ou dissolution dans l’eau :
° l’hypochlorite de sodium NaClO (ou eau de Javel)
° l’hypochlorite de calcium Ca(ClO)2